Archive for the ‘Culture’ Category
Boum, Macron, la fin du roi
Dans un de mes récents billets, d’aucuns (et d’aucunes) rêvaient de faire subir un certain nombre de sévices au dénommé Macron. Du genre, rétablir l’abbaye de Monte-à-regret, aka « la veuve », juste pour lui… Les gens sont méchants, hein.
Oui, c’est vrai, le minus qui habite l’Élysée se prend pour le king, bien qu’il me fasse plutôt penser à « la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf » , notamment face au gaga emperruqué qui lui habite la Maison blanche, mais aussi face au troupeau de riens qui peuplent les halls de gare (et le reste du pays aussi).
Marc Ogeret
Encore un
Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître.
Marc Ogeret, 86 ans, est allé rejoindre le paradis des poètes. Et les révoltés contre l’injustice de ce monde.
Le peuple étant con, faut-il en changer ?
Devant mon café, je lisais hier, un article *du Diplo de ce mois-ci, signé Evelyne Pieiller, qui m’a tellement énervée que moi qui avais un peu la tête dans les nuages et le potage réunis, ça m’a réveillée, dis-donc.
Un vent de révolte souffle en mai
Vous n’avez pas pu les louper, vu qu’on a causé que de ça depuis quelques jours dans la boite à mensonges : au milieu des gentils manifestants qui défilaient bien sagement dans les clous, il y avait des méchants, ceux que les « journalistes » (beurk, beurk) appellent « les casseurs ». Ou les « black blocs ».
L’actu de la semaine en dessins
Y paraît que Margaret Macron (© Alexis Corbières)
veut célébrer (sans déconner?!) Mai 68.
(H) Igelin, génération *
Il n’y en avait déjà pas beaucoup des bébés nés entre 1940 et 1945 …
On se reconnaissait entre nous, à l’armée on nous appelait « les classes creuses » , alors ceux qui ont passé le cap de la guerre furent les premiers à être porteurs d’espoir, et d’un futur de joie et bonheur. Après l’horreur, toujours présente dans les têtes, malgré la pauvreté de la vie pendant les années qui suivirent la libération, il y avait un incroyable désir, plutôt un besoin, de vivre à tout prix . Utopiste et joyeux
En réalité ce chant venait du front populaire de 1936, mais c’était l’air du temps dans les milieux populaires et ouvriers, et j’en étais, ma mère était communiste, petite fille de communards, une histoire familiale qui se transmettait de génération en génération …
Les cons ne changent jamais d’avis
Vous en avez tous rencontré.
Des gens persuadés de tout savoir. Sans avoir rien lu, ni écouté, ils ont quasiment la science infuse.
Y’aura t-il encore des poètes ?
J’en doute. C’est inutile, un poète. Pas raisonnable.1968, ça fait un bail. Hélas.
De l’échange de commentaires sur mon dernier billet à propos des neurosciences, j’ai tiré la conclusion que le célèbre « grand débat » sur un sujet fondamental n’est finalement toujours pas réglé : celui de l’inné (la biologie) et de l’acquis (la sociologie).
Ma chanson du dimanche : Idir et Mennel
Pas tous les dimanches, mais presque.
Il y a des gens, des chanteurs, que j’aime. Parce qu’ils me ressemblent, quelque part. Parce que ce qu’ils chantent me parle, m’émeut, me concerne.
Simplement humain.
Et donc, entre autres, Idir.
Un chanteur kabyle, qui chante à la fois en arabe et en français.
Et par exemple, ces chansons.